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L’utilisation du nombre '''47''' était une blague récurrente dans ''{{w|Star Trek: The Next Generation}}''. Le scénariste {{w|Joe Menosky}}, ancien élève du Pomona College, est à l’origine de cette plaisanterie, inspirée d’un amusant {{guil|''47 Society''}} issu de son université. Menosky, avec d’autres scénaristes et membres de l’équipe de production, a intégré le nombre à de nombreuses reprises dans la série, que ce soit dans les dialogues (souvent noyés dans du [[Technoblabla|technoblabla]]), les accessoires ou les références visuelles. La série d’espionnage {{w|Alias (série télévisée)|''Alias''}} a poussé la blague du {{guil|47}} à des proportions quasi épiques, en insérant des références au nombre très visibles dans la plupart de ses épisodes pendant ses cinq années de diffusion. |
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La blague autour du nombre 47 est devenue l’équivalent numérique du célèbre extrait audio appelé le {{guil|{{w|Cri Wilhelm}}}}, ajouté dans de nombreux films comme clin d’œil entre réalisateurs et monteurs son depuis le début des années 1950. |
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* C’est le dernier numéro de loterie détenu par une [[Vieille femme (minisérie)|réfugiée chanceuse]] sur [[Caprica (RDM)|Caprica]], qui est secourue par le lieutenant [[Sharon Valerii]] lors d’un arrêt d’urgence sur la colonie, après le début de la [[Chute des Douze Colonies]]. Le professeur [[Gaius Baltar]] semble envisager brièvement d’utiliser ce numéro pour lui-même, car la femme âgée ne parvient pas à le lire (son oubli l’amène à négliger ses lunettes posées sur sa tête), avant d’être interpellé par [[Karl Agathon|Karl {{guil|Helo}} Agathon]]. Agathon épargne la femme des manigances de Baltar en cédant sa place dans le [[Rapace 312|Rapace]] au célèbre scientifique ({{ep|miniseries, night 1}}). |
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Version du 22 septembre 2025 à 20:30
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| Un item de la minisérie Battlestar Galactica et la Série Réinventée | |
M. le Gentil Gaius Frakking Baltar détient le ticket gagnant pour un siège à bord du Rapace 312 appartenant à la vieille femme qui se tient à ses côtés (LSR : Battlestar Galactica, 1re partie). | |
| Informations out of universe | |
| Première apparition | Battlestar Galactica, 1re partie |
L’utilisation du nombre 47 était une blague récurrente dans Star Trek: The Next Generation. Le scénariste Joe Menosky, ancien élève du Pomona College, est à l’origine de cette plaisanterie, inspirée d’un amusant « 47 Society » issu de son université. Menosky, avec d’autres scénaristes et membres de l’équipe de production, a intégré le nombre à de nombreuses reprises dans la série, que ce soit dans les dialogues (souvent noyés dans du technoblabla), les accessoires ou les références visuelles. La série d’espionnage Alias a poussé la blague du « 47 » à des proportions quasi épiques, en insérant des références au nombre très visibles dans la plupart de ses épisodes pendant ses cinq années de diffusion.
La blague autour du nombre 47 est devenue l’équivalent numérique du célèbre extrait audio appelé le « Cri Wilhelm », ajouté dans de nombreux films comme clin d’œil entre réalisateurs et monteurs son depuis le début des années 1950.
Dans la Série Réinventée, ce nombre se manifeste comme suit :
- C’est le dernier numéro de loterie détenu par une réfugiée chanceuse sur Caprica, qui est secourue par le lieutenant Sharon Valerii lors d’un arrêt d’urgence sur la colonie, après le début de la Chute des Douze Colonies. Le professeur Gaius Baltar semble envisager brièvement d’utiliser ce numéro pour lui-même, car la femme âgée ne parvient pas à le lire (son oubli l’amène à négliger ses lunettes posées sur sa tête), avant d’être interpellé par Karl « Helo » Agathon. Agathon épargne la femme des manigances de Baltar en cédant sa place dans le Rapace au célèbre scientifique (Battlestar Galactica, 1re partie).

