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Les croyants pensent qu'il iront parcourir les [[champs élyséens]] après la mort s'ils ont mené une vie juste {{cite|trs|faith}}.<ref>Il s'agit d'un parallèle direct avec les {{w|Champs Élysées (mythologie)|Champs Élysées}} de la mythologie grecque, une partie du {{w|Hadès|royaume des morts}} correspondant aux {{guil|cieux}}. L'image d'un ferry traversant un fleuve est aussi un parallèle au  {{w|Styx}}.</ref>
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=== Le paradis perdu ===
D'après les [[Rouleaux Sacrés]], les dieux ont il y a longtemps partagé une existence quasi paradisiaque avec le peuple de [[Kobol (RDM)|Kobol]]. Plus tard, des circonstances forcèrent la population humaine de Kobol à s'exiler vers les Douze Colonies et la Terre et conduisirent au suicide d'Athena.
L'existence des Seigneurs de Kobol est attestée par la présence de nombre d'artéfacts antiques, comme la flèche d'Apollo, le [[tombeau d'Athena]] ainsi que les [[portes d'Hera]]. Cependant, bien qu'elle accepte leur authenticité historique, [[Sharon Agathon|Caprica-Valerii]], une [[Cylon (RDM)|Cylon]], doute de leur divinité effective.<ref>Il y a une notion dans les cercles des fans qu'il existe douze seigneurs de Kobol en analogie aux douze modèles cylons, aux Douze Colonies et peut-être même aux douze dieux de l'Olympe de la mythologie grecque. Un post dans le blog de [[Ron D. Moore]] du [https://web.archive.org/web/20050329011727/http://blog.scifi.com/battlestar/archives/2005/03/index.html 12 mars 2005] fait vaguement référence à cette coïncidence, mais il n'y a pas eu de source officielle supplémentaire à ce sujet.</ref>


== Références ==
== Références ==

Version du 23 avril 2020 à 12:35

Page d'aide sur l'homonymie Cet article concerne la religion des Colonies telle que vue dans l'univers réinventé. Pour la religion kobolienne de la Série Originale, voir Religion dans les Douze Colonies (LSO). Pour les différentes mythologies utilisées dans Battlestar Galactica, voir Références mythologiques.
Article de la série sur
les Douze Colonies de Kobol
Série Réinventée

La religion des Douze Colonies dominante, pratiquée par la majeure partie des personnes de façon sporadique ou continue, consiste en une foi polythéiste[1] avec une insistance très forte quant à la philosophie de l'Éternel retour. Il existe plusieurs variantes de cette foi, à la fois dans les croyances et les pratiques.

Origine

Une portion des Rouleaux Sacrés, et plus spécifiquement un extrait du Livre de la Pythie (LSR : En route pour Kobol, 2e partie)

L'aspect éternel retour entre les peuples de Kobol et la Terre suggère un parallèle ou origine inversée avec l'humanité comme un tout, ou bien la Treizième Tribu qui l'a certainement peuplée. Voir l'histoire des Douze Colonies pour plus de détails.

Pendant le mémorial qui suivit la fuite depuis la station de Ragnar (LSR : Battlestar Galactica, 2e partie), William Adama fait cette déclaration : « la vie ici a commencé là-bas »[2], rappelant à l'assemblée qu'il s'agissait de la première phrase des Rouleaux Sacrés, le fondement religieux principal de la foi coloniale, qui leur a été enseignée par les Seigneurs de Kobol il y a de cela bien des siècles.

Croyances

Les Seigneurs de Kobol

La religion Coloniale est centrée sur les Seigneurs de Kobol. Il existe au moins onze Seigneurs de Kobol :

Les Coloniaux semblent utiliser plusieurs noms pour appeler leurs seigneurs, confondant « Mars » pour « Ares », « Jupiter » pour « Zeus », etc.[4]

L'au-delà

Les croyants pensent qu'il iront parcourir les champs élyséens après la mort s'ils ont mené une vie juste (LSR : La Foi).[5]

Le paradis perdu

D'après les Rouleaux Sacrés, les dieux ont il y a longtemps partagé une existence quasi paradisiaque avec le peuple de Kobol. Plus tard, des circonstances forcèrent la population humaine de Kobol à s'exiler vers les Douze Colonies et la Terre et conduisirent au suicide d'Athena.

L'existence des Seigneurs de Kobol est attestée par la présence de nombre d'artéfacts antiques, comme la flèche d'Apollo, le tombeau d'Athena ainsi que les portes d'Hera. Cependant, bien qu'elle accepte leur authenticité historique, Caprica-Valerii, une Cylon, doute de leur divinité effective.[6]

Références

  1. Les divinités Coloniales ressemblent aux dieux de l'Olympe de la mythologie grecque du monde réel.
  2. Cette réplique est un hommage à la Série Originale, dans laquelle chaque épisode (dans la V.O.) débutait en voix-off par cette phrase. La version française de la Série Originale a un texte totalement différent à l'exception du pilote.
  3. Aurore est la contrepartie romaine de la déesse grecque Éos, l'une des Titanides. Étant donné que les Seigneurs de Kobol sont calqués sur le canon olympien cependant, ceci pourrait indiquer qu'elle ne fait pas partie des Seigneurs, mais qu'elle appartient à un autre groupe de divinités.
  4. Curieusement, Laura Roslin mentionne que le 134e jour de l'occupation cylone de la Nouvelle Caprica est le jour de Mars (LSR : Mission suicide), suggérant que Ares peut être aussi appelé selon le nom du panthéon romain. Cela se produit une nouvelle fois dans Le Passage lorsque Zeus est appelé du nom de sa contrepartie romaine.
  5. Il s'agit d'un parallèle direct avec les Champs Élysées de la mythologie grecque, une partie du royaume des morts correspondant aux « cieux ». L'image d'un ferry traversant un fleuve est aussi un parallèle au Styx.
  6. Il y a une notion dans les cercles des fans qu'il existe douze seigneurs de Kobol en analogie aux douze modèles cylons, aux Douze Colonies et peut-être même aux douze dieux de l'Olympe de la mythologie grecque. Un post dans le blog de Ron D. Moore du 12 mars 2005 fait vaguement référence à cette coïncidence, mais il n'y a pas eu de source officielle supplémentaire à ce sujet.